Depuis quelques jours, M. Barthélémy Dias, un homme politique très connu pour ses outrances et son caractère fasciste, tient des propos particulièrement odieux et calomnieux à l’égard d’honnêtes citoyens, dont ma modeste personne.
Cet homme emporté et au caractère puéril, habitué à jouer au Tartarin de salon, est coutumier des faits de diffusion de fausses nouvelles. Il a osé soutenir des propos ridicules, m’imputant une responsabilité dans le recrutement de « nervis » ( sic).
Cette affirmation aussi grotesque que fantaisiste, pue évidemment le mensonge, l’affabulation et la manipulation.
Dès lors, il me revenait, au nom de la vérité, de saisir par mes conseils des voies de droit pour le mettre devant ses responsabilités afin que nul n’en ignore.
Il est de notoriété publique et à partir des faits irréfutables que cet énergumène est l’incarnation typique de la violence verbale et physique, qui ont conduit par le passé à l’irréparable.
N’est-il pas constant de le voir tout le temps entouré de gros bras, de sbires donc de nervis armés ?
Tout le monde au Sénégal sait que c’est lui qui entretient, organise et lâche des nervis contre d’honnêtes citoyens.
Souvenez-vous il y’a de cela quelques années le sieur Barthélémy Dias commettait des voies de fait précédées par des propos à la violence inouïe, tout en saccageant nos panneaux publicitaires dans sa commune.
Depuis lors, ce monsieur est rongé par une haine aveugle et une jalousie maladive, qui l’amènent à vouloir en découdre avec moi et porter atteinte à mon honorabilité.
Barth, tu sais très bien que tu mens comme tu as menti sur l’assassinat du jeune Ndiaga Diouf, qui restera sur ta conscience éternellement. Et pis, tu sais que je sais.
Je te conseille d’aller voir un psychiatre, car depuis ce meurtre de sang-froid, tu n’arrives pas à te regarder dans un miroir malgré tes rodomontades.
Il me reste juste une chose à te dire, en te rappelant ce verset du Saint Coran: « Ô vous qui avez cru ! Si un pervers vous apporte une nouvelle, voyez bien clair (de crainte) que par inadvertance vous ne portiez atteinte à des gens et que vous ne regrettiez par la suite ce que vous avez fait ».
Aly Mané
Citoyen Sénégalais