Selon les premiers éléments de l’autopsie livré par le Dr Ibou Thiam de l’hôpital Aristide Le Dantec, l’élève sous-officier de police Abdel Kader Johnson serait décédé d’une mort naturelle.
Ce, rapporte L’Observateur, « suite à une défaillance multi viscérale sur terrain de cardiopathie ischémique et d’hépatopathie chronique ».
Un résultat que conteste le père de la victime, au motif que « son fils avait les côtes brisées détachées du côté droit de la colonne vertébrale et une rupture des tendons cervicales ».
Me Rassoul Johnson signale que « son fils ne souffrait d’aucune pathologie lorsqu’il intégrait la police ».
Exigeant « toute la lumière sur les circonstances de la mort de son fils », il a commis un pool d’avocats et n’exclut pas de solliciter une contre-expertise.