Le dispositif technique sur le placement sous surveillance électronique est prêt. Les tribunaux pourront y faire recours dès le premier trimestre de l’année 2022, a indiqué le ministre de la justice Me Malick Sall lors de la conférence nationale des chefs de parquet, le jeudi 23 décembre.
Comme rappelé dans l’exposé des motifs du projet de la loi l’ayant introduit, le bracelet électronique a pour objectif de fixer une alternative à l’incarcération et faciliter ainsi la réinsertion sociale, a déclaré le ministre de la justice lors de sa prise de parole.
En plus de la loi, les dispositions réglementaires subséquentes ont été prises et les juridictions pourront, prochainement, après les formations envisagées, dès le premier trimestre de l’année 2022, faire recours à ce nouveau dispositif.