l’affaire Sonko / Adji Sarr continue de faire des vagues. Si une procédure judiciaire est entamée pour le cas de viol présumé dont la masseuse Adji Sarr accuse Ousmane Sonko, la question de la légalité des salles de massages préoccupe l’Etat du Sénégal. Depuis plusieurs jours, les propriétaires d’instituts de beauté et de salles de massage sont sommés de présenter leur agrément aux forces de sécurité parce qu’ils tiennent un établissement soumis à la surveillance des pouvoirs publics, et dont l’ouverture est soumise à autorisation. La gendarmerie et la police font des descentes inopinées dans ces espaces très controversés pour délivrer des convocations aux propriétaires. Pas besoin de vous dire que ceux qui ne détiennent pas d’agrément délivré par l’Etat sont priés de fermer avancent nos sources avant de préciser que la région de Dakar est passée au crible par les forces de l’ordre. Rappelons que l’Affaire sweet beauté a fait jaser les professionnels du secteur notamment les kinésithérapeutes qui avaient menacé de porter plainte contre la propriétaire du salon pour usurpation de fonction avant de se retracter et d’exiger l’assainissement du secteur. Notons que cette traque lancée contre les tenanciers d’Instituts de beauté et de salles de massage véreux pourrait être étendue sur l’ensemble du territoire national.
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