Le CNG a fait des propositions concrètes pour l’organisation des combats à huis clos. Il s’agit notamment du nombre d’accompagnateurs des lutteurs, le nombre de batteurs, d’officiels, de journalistes… qui seront autorisés à accéder aux lieux des combats.
Le CNG décide de n’autoriser que 300 personnes dans l’enceinte, lors des combats. “Pour les grands combats, chaque lutteur a droit à 8 accompagnateurs. Pour les petits combats, chaque combattant est autorisé à avoir 5 accompagnateurs”, indique Adama Bop, porte-parole du CNG, à l’issue de leur rencontre avec les promoteurs, hier mardi, dans la matinée.
“Nous maintenons les trois batteries, à savoir la batterie d’animation générale. Et chacun des deux lutteurs du grand combat viendra avec sa propre batterie, avec pour chacune des trois batteries un nombre de 7 batteurs”, ajoute la voix officielle de l’instance dirigeante nationale.
20 personnes pour la structure organisatrice, 20 officiels du CNG
“Nous maintenons toujours les dix combats par gala. On permet au promoteur qui organise d’avoir 20 personnes. Aussi, le CNG aura 20 officiels. Pour les accréditations de la presse, on pense que 25 personnes seront suffisantes. Les chanteurs et chanteuses seront au nombre de 10 personnes. Il y aura 2 micros centraux”, poursuit, M. Bop dans ses explications détaillées.
5 arbitres, 14 superviseurs du CNG, 3 médecins
Concernant la commission d’organisation du CNG, ce sera 14 personnes. La commission médicale du CNG aura un nombre de 3 personnes. Les arbitres, y compris le Directeur technique national (DTN) Khalife Sow, seront au nombre de 6 personnes. La Commission Règlements et Discipline (CRD) aura droit à 4 personnes.
«Dans ce que nous avons chiffré, nous sommes à 236 personnes à autoriser dans l’enceinte. Mais le nombre total accepté, c’est 300 personnes», conclut Adama Bop.
Sunu Lamb