Khalifa Ababacar Sall et les responsables de l’Alliance pour la transparence des élections (ATEL) ont traîné l’État du Sénégal devant la Cour de justice de la CEDEAO. Ceci pour dénoncer la “violation de leurs droits civils et politiques”.
“(…) Une requête par Khalifa Sall et huit autres responsables de l’ATEL pour violation de leurs droits civils et politiques et leurs Droits de l’homme, notamment le Protocole additionnel de la CEDEAO sur la bonne gouvernance, la Charte africaine des Droits de l’homme et d’autres instruments juridiques internationaux et nationaux de protection des droits. Une deuxième requête en procédure accélérée a été déposée par les mêmes personnes”, selon Me Amadou Sall.